Aller au contenu Aller à la navigation principale

Concerto en fa majeur

D'après KV 538, 315 & 368

Wolfgang Amadeus MOZART Arrangement de David WALTER

Détails

Famille instrumentale Hautbois
Classifications catalogue Hautbois et piano
Nomenclature instrument Hautbois et piano
Durée totale 00:20:00
Éditeur Éditions Billaudot
Collection WALTER David
Direction de collection WALTER David
Cotage GB10279
Nb. total de pages 48
Langues Anglais, Français
Cycle / Niveau Difficile (cycle 3)
Public concerné Jeunes, Adultes
Style musical Classique
Type répertoire Œuvre(s) du répertoire
Année copyright 2023
Année copyright 2023
Code EAN 9790043102793
Audios Sans
Compléments EDU sans

Description

En novembre 1778, Mozart est à Mannheim où il ébauche un deuxième concerto pour hautbois en fa majeur un an après avoir achevé son premier, le concerto en ut majeur KV 314 datant de début 77, le seul qui hélas nous parviendra dans son intégralité. On ne sait rien de la genèse de ce concerto, ni de la raison pour laquelle le compositeur n’acheva que le tutti initial et le début du solo, mais il est fort probable qu’il soit lié à sa rencontre avec Friedrich Ramm comme en témoigne sa correspondance à son père datée du 4 décembre 1777 « un hauboïste qui joue fort bien et qui a un son très pur ». Mozart composera pour lui le quatuor KV 370 en 1781. À l’opposé du hautbois, les sopranos disposent chez le compositeur d’un répertoire d’une richesse éblouissante avec souvent un traitement de la voix d’une virtuosité rappelant celle des instruments jouant dans le même registre. Il était donc très tentant de construire un concerto avec deux arias en fa majeur, le KV 538 « Ah se il ciel, begnine stelle » et le KV 638 « Ma que vi fece » sans le récitatif initial. Ces deux airs seront proposés ici avec la partie originale et une proposition légèrement ornementée pour un rendu plus purement instrumental. En guise de deuxième mouvement, j’ai utilisé l’Andante pour flûte et orchestre KV 315, originellement en do majeur que j’ai baissé d’un ton pour une relation classique fa-si b, -fa. Pour le hautbois, c’est une nouvelle opportunité de se mouvoir dans cette musique à la magique pureté et la vitalité sans cesse renouvelée ! David WALTER